mercredi 6 juillet 2011

J'avance dans ma lecture "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi", moi je ne m'ennuie pas une seconde, facile à lire, plein de rebondissements, prévisibles certes, mais amusants. Katherine Pancol a trouvé le bon filon, elle est entrain de penser au quatrième tome. Elle cherche la première phrase de son roman.
C'est vrai, lorsqu'on écrit une lettre par exemple, le plus ardu est de trouver les premiers mots, ensuite tout coule, les phrases s'alignent sans difficulté.


J'ai le temps de surfer sur internet, j'ai trouvé cette photo, non ce n'est pas moi de dos, si vous avez encore des complexes pour vous mettre en maillot de bain, j'espère qu'elle vous donnera tous les courages. La vendeuse aurait pu lui dire habilement qu'il y avait le paréo assorti au maillot. Aujourd'hui en Bretagne le vent souffle et il ne fait pas chaud, pas le jour à se pavaner sur une plage.



"Se révolter, c'est courir à sa perte, car la révolte, si elle se réalise en groupe, retrouve aussitôt une échelle hiérarchique de soumission à l'intérieur du groupe, la révolte seule, aboutit rapidement à la soumission du révolté... Il ne reste plus que la fuite." Henri Laborit.
Je pensais à tous ceux qui traversent la mer et qui espèrent une vie meilleure, ils n'ont sans doute pas lu Laborit, mais ils ont compris instinctivement qu'ils devraient encore se soumettre après leur révolution. Je regardais un documentaire et les centaines d'Africains qui arrivent sur les Iles Canaris, ils fuient un monde de misère et se retrouvent pratiquement en esclavage, Ne vaudrait -il pas mieux qu'ils restent chez eux, sans perdre toute leur dignité, de toutes les manières tous les pays ont une structure qu'il faut respecter. Quoi faire?

TROIS MOTS :

VERACE : En littérature, sincère, nous employons souvent véracité, mais rarement VERACE.

TSWANA : Langue bantoue de l'ethnie du même nom.

PROTEE : Amphibien des eaux souterraines.

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