mercredi 14 décembre 2016


Je n'avais pas prévu de commencer à écrire mon blog en parlant d'Alep, mais le billet de Nicole Ferroni ce matin sur France-Inter m'a tellement émue, difficile de rire, de continuer à vivre normalement lorsqu'un tel drame se déroule sous nos yeux. La voix de la France est inaudible, l'Europe impuissante, des enfants, des parents meurent, je crois que nous sommes ridicules lorsque nous lançons des ultimatums.

La maman de ma belle-soeur est syrienne, elle est née à Alep il y a quatre-vingt ans, elle n'a pas de souvenirs de cette période, elle habite à Paris après avoir quitté le Liban en guerre, mais j'imagine son chagrin lorsqu'elle voit ces images. Nous restons toujours attachés à notre pays de naissance, surtout lorsque nous atteignons les dernières années de notre vie.
Je dis souvent et de plus en plus souvent à Christian, il faudra absolument que nous allions un jour en Algérie, je ne veux pas mourir sans avoir revu ce pays, même si je dois rester à l'aéroport et repartir, poser mes pieds sur la terre où je suis née et où j'ai passé ma jeunesse. J'ai peur d'y séjourner, il paraît que cela ne risque absolument rien, j'ai trop de mauvais souvenirs, de violence, je manque de courage.
Si vous n'avez pas écouté Nicole Ferroni, je mets le lien, elle a fini son billet en larmes.
https://www.franceinter.fr/emissions/le-billet-de-nicole-ferroni/le-billet-de-nicole-ferroni-14-decembre-2016



Les radars pour protéger les piétons sur les passages cloutés :
Le Code de la route est clair, «tout conducteur est tenu de céder le passage, au besoin en s'arrêtant, au piéton s'engageant régulièrement dans la traversée d'une chaussée ou manifestant clairement l'intention de le faire». À défaut, c'est une amende de 135 € et 4 points en moins.
Je déteste les passages cloutés qui sont situés à la sortie d'un rond point, ils sont très dangereux. Nous devons freiner pour laisser passer le piéton et l'automobiliste qui est derrière lui accélère pour sortir du rond-point.



La vérité, bof! je m'en fiche et je m'en contrefiche. Polnareff ne m'a jamais fait rêver, même lorsqu'il montrait ses fesses.



Qui n'a pas lu "Le Petit Prince." ? 145 millions de livres vendus, il est intemporel, il nous rappelle surtout que nous devons toujours rester un peu des enfants, il est humaniste, tolérant, il faudrait que je le relise. Moi aussi je parle à mes plantes, cela a beaucoup fait rire un copain scrabbleur lorsque j'ai expliqué que les plantes adoraient que nous leur parlions, pas à une rose, elle ne pousse pas chez nous.


Pleine de sagesse cette mamie, elle ne s'inquiète pas, il reviendra.

Les Birds :
 Un clic.

SCRABBLE :

TALPACK -

CAPTAL ou PLACAT + K

CAPTALS : Au Moyen-Age, chef militaire gascon.


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