Sur F.Inter, chaque vendredi j'écoute le billet de François Morel. J'aime sa poésie, son humanité, jamais méchant, un peu taquin. Ce matin, il parlait du temps présent et des gens qui passent leur temps à photographier avec leur portable au lieu de profiter d'un paysage, d'une personne qui passe, avec leur regard nu, c'est aussi un fragment de temps qui ne reviendra pas, le temps n'est pas un brouillon, on ne peut jamais revenir sur l'instant qui est passé. C'est fini.
En voyage, j'ai souvent été surprise de voir les gens l'oeil rivé à leur appareil, ils prennent des centaines de photos pour les regarder plus tard, font des milliers de km pour prendre des photos, Internet est une mine de photos, pas la peine d'aller très loin pour voyager, si la photo est leur mode de fonctionnement .
J'aime prendre des photos, mais j'oublie d'en prendre si le paysage qui s'offre à moi est éblouissant, ma mémoire s'en souviendra et le souvenir sera toujours là, à ma disposition immédiatement, et j'espère longtemps. J'ai toujours aimé prendre des photos de mes enfants petits, mes petits-enfants, le moment était unique, un mois, un an après, ils n'étaient plus les mêmes.

Je ne sais pas si vous êtes de la génération des diapos, des soirées apéros où les copains nous gavaient de diapos prises en voyage ou avec leurs enfants, la barbe ! Nous leur faisions plaisir en faisant semblant d'être intéressés.

Voilà une photo prise il y a quatre ans à Baud, c'est Facebook qui l'a mise sur ma page ce matin. Le tournoi en deux parties de Noël, c'était sympa. J'avais même eu un cadeau, un livre un peu coquin, mais écrit par un médecin "Le traité des caresses." je ne l'ai jamais lu, il doit se balader sur une étagère. Je peux le prêter ou le donner, il est neuf, ça évitera à mes enfants de le trouver lorsqu'ils videront la maison !

Nous allons encore y avoir droit ou il est déjà passé. 

Les rayons des magasins pleins à ras bord de nourriture, jusqu'à l'écoeurement, les jouets qui font brailler les enfants et qui donnent des angoisses aux parents, c'est Noël.

Les primaires, Christian m'a posé la question "Tu y vas ?"

Un clic sur le dessin.

Des "droitiers" ont voté pour lui et il recule déjà, il reniera quoi la prochaine fois, mon éducation catholique poussée à l'excès m'a toujours interdit de mentir, apparemment cela ne dérange pas F.Fillon.

Ho, le menteur..

C'est la dernière fois que j'en parle, j'ai avalé mon dernier cachet de Femara hier soir, cinq ans et neuf mois, c'est long.

Les contrôles au mois de mars, mais c'est tellement difficile d'avoir des dates à l'hosto, ils sont débordés, on doit m'écrire pour confirmer. J'attends.

SCRABBLE :

Il y a 11 mots finissant par FFLE

	-	baffle n.m. (vieilli) (angl) Plaque sur laquelle est fixé un haut-parleur.
	-	boursouffler v. (cf).
	-	buffle n.m. (élevage) Nom donné à plusieurs espèces de bovidés sauvages ou domestiques des genres Bubalus et...
	-	essouffler v. Mettre presque hors d’haleine par un mouvement violent.
	-	insuffler v. (médecine) Souffler, introduire à l’aide du souffle ou d’un appareil spécial un gaz, un liquide,...
	-	moffler v. (Belgique) Recaler, en parlant d’un candidat à un examen. (peut s'écrire aussi MOFLER)
		persiffler v. Variante orthographique de persifler.
	-	RAFFLE n.f. Partie centrale d'une grappe.
	-	riffler v. (Terme suisse, savoisien, rouchi, etc.) Effleurer, raser, toucher à peine, passer près.
	-	siffler v. Émettre un son aigu, soit avec les lèvres, soit en soufflant dans un sifflet, dans une clef forée,...
	-	soufflé n.m. (cuisine) S’emploie pour désigner une crème, une purée, etc., qui se gonfle à la cuisson.