vendredi 14 octobre 2011

Hier, je devais me rendre chez mon médecin généraliste. Je me suis cassée le nez, le cabinet était fermé le matin, ouvert l'après midi ; un monde fou s'y pressait, des patients largement retraités et deux jeunes. Mon tour est arrivé et j'ai eu l'explication de son absence "Je suis en formation, et cela risque de durer jusqu'au mois de mai" et comme nous bavardons facilement il m'a donné d'autres explications " J'ai envie d'avancer, je me sclérose ici et si mon boulot me paraît sans saveur je le pratiquerai mal, c'est aussi pour cette raison que je fais de l'humanitaire" j'ai répondu " Alors allez y, si ça doit vous faire du bien n'hésitez pas" c'était moi le médecin !!!
J'y repensais ensuite, la vie d'un médecin généraliste à notre époque n'est plus du tout celle que nous avons connue il y a une vingtaine d'années. Le médecin se déplacait, plus maintenant, cela lui faisait un bol d'air, il rencontrait les familles, il connaissait toute leur vie, il allait dans les fermes, revenait avec de la volaille, des oeufs, Christian a eu la vie sauve pendant la guerre grâce à un médecin qui connaissait tous les paysans, il avait attrapé la thyphoïde, maladie souvent mortelle, son docteur récoltait chaque jour du sang de porcelet pour en extraire du sérum, tuer les cochons était interdit à cette période. Le docteur comme nous disions soignait tout, dés qu'il arrivait les angoisses s'évaporaient, on se sentait mieux.
Actuellement le médecin généraliste prescrit les médicaments, nous allons faire notre marché chez lui tous les trois mois, il découvre une maladie, mais ensuite? Les spécialistes prennent le relais, il a un rôle ingrat. .
Je comprends très bien mon médecin si sympathique, c'est un métier merveilleux mais qui ne doit pas devenir ennuyeux.C'est sans doute pour cela que tant d'entre eux pratiquent à l'hôpital, ils gagnent moins d'argent mais ils sont plus heureux. 
Dans les années qui viennent il y aura pénurie de médecins à la campagne..

Une histoire envoyée par Mariannick
Un touriste français spécialiste du saut à l'élastique va au Maroc ...
Arrivé à destination, il décide de sauter du haut d'un minaret. Il va donc au souk, voir un marchand et lui dit : "J'aurais besoin d'un mousqueton, d'un baudrier et de 25 mètres d'élastique torsadé spécial pour le saut." Le marchand lui fournit tout ça. L'après-midi, la place est pleine quand le Français s'apprête à sauter.
Il s'élance, saute, l'élastique se tend, s'arrête à 20 cm du sol et rebondit. A la grandeur du spectacle, tout le monde applaudit !!!
Le lendemain, la star du village, Mohamed, veut faire de même pour montrer son grand courage.
Il achète le même matériel que le Français (1 mousqueton, 1 baudrier et 25 m d'élastique torsadé spécial pour le saut)
Il grimpe au sommet du minaret de la mosquée, saute, s'étale méchamment par terre et meurt. …
La police marocaine fait son enquête et interroge le marchand : - "Qu’est-ce que vous avez vendu à Mohamed ?"
- "Je lui ai vendu 1 baudrier, 1 mousqueton et 25 m d'élastique...mais comme son père est un grand ami de la famille, j'y ai rajouté 5 mètres d'élastique gratuits !!!"


Trois mots

ETHICIEN : Homme spécialisé dans l'éthique.

BRUCELLA : Bactérie –



ARAIRE : Charrue rudimentaire.  Tracté par un animal, il scarifie le sol, l'arairage qu'il effectue est donc superficiel
Arairage n'est pas valable au scrabble. Vous pouvez transformer ARAIRE en LARAIRE;



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