Nous sommes optimistes, nous avons acheté de quoi faire fonctionner le barbecue, le soleil repointe le bout d'un rayon et la chaleur revient, petite chaleur mais chaleur quand même.
J'ai deux petites robes d'été que je mets lorsque je suis dans le jardin pour être à l'aise, elles sont dans la penderie, propres, repassées, elles ne servent pas, mes pulls en coton eux sont sortis. Je riais l'autre jour, en regardant des photos de l'an dernier j'ai dit "Mais c'est vrai, j'ai ce pantacourt, il est où?" Je l'ai retrouvé bien plié dans ma boîte où je range les vêtements en fin de saison. Christian n'a pas manqué de dire "Tu devrais regarder plus souvent les photos".
Il doit pleuvoir dimanche, profitons de ce moment de beau temps.
En prévision de la pluie qui nous clouera à la maison nous avons acheté deux DVD en solde "Qu'est qu'on a fait au Bon Dieu" déjà vu mais nous avions tellement aimé ce film, un vrai moment de bonne humeur et je n'avais pas pu voir "Guillaume et les garçons", nous regarderons. Je fouine dans les soldes des DVD. Je les prête à ma fille et ils ne reviennent jamais chez nous, DVD voyageurs comme les livres..C'est fait pour.
Le temps incitait à la promenade plutôt qu'à la baignade.
Il y avait du monde hier sur le passage de l'île de Berder. J'espère qu'ils auront bien regardé l'heure de la marée, tous les étés les pompiers interviennent. J'ai pris en photo avec leur appareil un couple d'amoureux, très amoureux, ils étaient ravis d'être là, elle a demandé "Vous ne vous lassez jamais d'habiter là, je suppose que non, c'est tellement beau"
"Non, non jamais".
J'aurais pu lui réciter la carte postale de Thibaud envoyée à Héraclite, lue à la fin de l'émission "ça va pas la tête", c'était ce matin. Nous ne passons jamais nos vacances au même endroit, même si nous allons toujours au même endroit, le fleuve coule, la mer se charge de changer les paysages et le temps est irréversible, on ne se baigne pas dans le même fleuve. Pour nous en bord de mer c'est pareil, les paysages ne sont jamais les mêmes.
Vraiment dommage que cette émission "ça va pas la tête" s'arrête à la fin de l'été. Vous pouvez écouter, la carte postale est à la fin de l'émission. Vous cherchez sur internet, les émissions de France-Inter, mon lien n'est pas bon.
Nous nous sommes arrêtés chez l'ostréiculteur, envie d'huîtres. Elles étaient délicieuses, pour lui faire plaisir nous irons un jour les déguster sur sa terrasse, avant la fin de la saison. C'est nouveau, il a bien fait, j'espère qu'il aura eu du monde pendant tout l'été. Une douzaine d'huîtres, un verre de blanc, du pain beurré, le bonheur.
Le dessin est marrant, les éleveurs eux ne doivent pas rire, je suis triste pour eux, ils ont l'air désespérés. Je ne pense pas que le consommateur se rendrait compte d'une petite augmentation lorsqu'il achèterait des côtes de porc, elles sont déjà si peu onéreuses, la viande la moins chère.
Quelle misère.
Tout tourne en polémique dans ce pays. Je suis d'accord il doit y avoir des abus dans certaines familles mais d'autres attendent cette allocation pour faire leurs achats scolaires, la misère existe aussi ici, elle ne se voit pas toujours, il y a des ghettos d'où les gens ne sortent jamais pour ne pas être confrontés à l'abondance.
Une petite histoire, je l'ai mise sur ma page Facebook, je connais quelqu'un qui n'est pas sur Facebook mais qui est friand des petites histoires, il se reconnaîtra :
Ma petite amie et moi sortions ensemble depuis plus de deux ans, et avions décidé de nous marier.
Ma petite amie était un rêve. Il y avait seulement une chose qui me tracassait beaucoup : Sa plus jeune sœur.
Ma future belle-sœur avait vingt ans, portant mini-jupes serrées et chemisiers très bien garnis. Elle se penchait régulièrement quand elle était près de moi, j’avais ainsi une vue plaisante sur ses formes appétissantes. Cela était évidemment délibéré. Elle ne l’a jamais fait avec d’autres devant moi.
Un jour, elle m’a appelé et m’a demandé de venir pour vérifier les invitations de mariage. Elle était seule quand je suis arrivé. Elle m’a chuchoté que bientôt je serais marié, et qu’elle avait des sentiments et du désir pour moi, qu’elle ne pouvait et ne voulait pas surmonter. Elle m’a avoué qu’elle voulait me faire l’amour juste une fois avant que je sois marié avec sa soeur.
J’étais totalement choqué et ne pouvais dire un mot.
Elle a dit : «Je vais en haut dans ma chambre, et si tu veux passer à l’acte tu peux monter et me prendre.»
J’étais assommé, gelé. Je l’ai observée monter les escaliers. Quand elle a atteint le palier, elle a quitté sa culotte et me l’a jetée en bas des escaliers. Je me suis tenu là pendant un moment, puis j’ai pris la direction de la porte d’entrée. Je l’ai ouverte et j’ai marché directement vers ma voiture.
Mon futur beau-père se tenait dehors. Avec des larmes aux yeux, il m’a étreint et a dit : «Nous sommes très heureux que vous ayez passé notre petit test avec succès. Nous ne pouvions pas penser à un meilleur homme pour notre fille. Bienvenue dans la famille.»
Moralité : toujours garder ses préservatifs dans sa voiture….
SCRABBLE :
Je l'ai loupé sur ISC, seul mot qui se termine par IUME.
AMPHIUME : Amphibien type urodèle.
Les mots que vous risquez de jouer et qui se terminent par DELE :
CORDELE | - | v. [cj. appeler]. Tordre en forme de corde. |
FIDELE | - | FIDÈLE adj. et n. |
INFIDELE | - | INFIDÈLE adj. et n. |
MODELE | - | MODÈLE adj. et n.m. --- MODELÉ n.m. Bx-arts. Relief des formes. - Géogr. Relief. --- MODELER v. [cj. peler]. |
PLEURODELE | - | PLEURODÈLE n.m. Amphibien voisin de la salamandre. |
REMODELE | - | v. [cj. peler]. |
URODELE | - | URODÈLE n.m. Amphibien, type salamandre, triton. |
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