jeudi 21 février 2013

J'ai mal joué hier à Plouharnel, de quoi perdre confiance pour jouer la phase 3 dimanche.
Je déteste cet état, physiquement je suis devant ma grille mais ma tête est ailleurs, je bouge mes caramels sans conviction, je n'utilise pas mes trois minutes et dans les dernières secondes je décide de chercher, trop tard. La motivation est absente. Je vois les scrabbles qui ne passent pas et pas ceux qui passent. Deux places pour des nonuples se sont ouvertes, j'ai dit "S'il vous plaît, laissez-moi les trouver seule, ça fera remonter mon pourcentage et baisser le vôtre" les copines et copains de scrabble  cherchaient, bien décidés à ne pas perdre leur avance. Boudi (boudu-boudiou)  la solidarité n'est plus ce qu'elle était !!
Vous pouvez rejouer la partie, cliquez sur ce lien et régalez-vous.
Ce n'est pas grave, le scrabble ne fait pas partie de mes raisons de vivre, j'aime beaucoup mais je relativise, l'important est de passer un bon moment.

En sortant, nous sommes allés faire nos courses chez Leclerc, j'ai parcouru "Leclerc culture" comme d'habitude je me suis laissée tenter par deux bouquins, un qui vient de sortir en livre de poche, je l'attendais, "Rien ne s'oppose à la nuit" de Delphine de Vigan et
un autre de Jean-Philippe Blondel "06h41". On me pose souvent la question "Tu ne vas jamais dans une bibliothèque? Tu devrais."  Non, je ne veux pas, pour deux raisons : Je veux lire selon mes envies, à l'instinct, ne pas attendre qu'il soit disponible et je trouve normal d'acheter les livres, un auteur doit vivre de son talent d'écrire, si nous n'achetions plus rien est-ce que nous aurions un tel choix de lecture? Tout talent mérite salaire, nous payons notre place de cinéma sans broncher, nous pouvons acheter un livre de poche à 6 ou 7 euros, un magazine tel l'Express, je cite celui là mais je pourrais aussi citer Match, vaut largement 3 euros et il ne procurera jamais autant de bonheur qu'un livre. Je n'achète plus de magazines depuis longtemps, pas de quotidien, Internet me suffit pour lire les nouvelles, nous sommes abreuvés d'informations et je commence à détester les médias qui se nourrissent de mauvaises nouvelles pour les répandre dans nos foyers.
Michelle avait acheté "Je vais mieux" de Foenkinos, il est sur ma table, je suis heureuse, pas de manque, j'ai de la lecture. Aujourd'hui je reste à la maison, c'est ma journée de repos, après tous mes contrôles qui m'ont stressée j'en ai besoin, je me relâche, je dois tellement me contracter avant mes visites à l'hosto qu'après coup j'ai mal dans tous mes muscles, ça va passer...

Hier soir "La parenthèse inattendue", nous nous sommes régalés, j'ai regardé jusqu'à la fin sans ennui. Les invités étaient intéressants et je crois que l'émission a été très regardée. Christian ne s'est pas endormi, c'est dire !
Michel Cymes en vrai médecin show-man a fait le spectacle, Christophe Dominici le rugbyman a révélé un côté très touchant de sa personnalité, des blessures qui remontent à l'enfance, un regard plein d'admiration pour Véronique Jannot, il était amoureux d'elle lorsqu'il la regardait à la télé. Revoir la victoire de la France contre les All-Blacks, un grand moment. Véronique Jannot est spontanée, lumineuse, elle a parlé de son cancer, elle avait 22 ans et "sa machine à bébé était cassée". J'aime aussi le moment où ils se débarrassent de leur téléphone portable, certains hésitent, d'autres semblent soulagès de laisser cet objet qui polluerait le silence ou le moment de se confier.
Comme toujours Frédéric Lopez sait attirer les confidences, des moments très intimes de ses invités qu'ils ne dévoileraient certainement pas dans une autre émission. Cet animateur devrait être psychologue. Ils ne se connaissent pas lorsqu'ils arrivent et repartent amis et je sens que ce n'est pas du cinéma, tout paraît sincère. Ils sont tous émus au moment de se quitter, hier le plus ému à mon avis était Christophe Dominici, je le soupçonne de ne pas avoir tout dit, j'ai vu quelque chose dans ses yeux qui me fait penser ça, il a certainement des fêlures ce gaillard.
Évidemment je me suis endormie tard, mais qu'importe, cette émission vaut bien deux heures de sommeil en moins, je ne travaille pas le lendemain, c'est vrai.
Vous pouvez voir la vidéo en cliquant ici

Est-ce que le Pape fera un pot de départ? La question doit se poser puisqu'il n'y a eu qu'un Pape qui a démissionné, il y a très longtemps.

Je n'aimais pas les pots de départ, tous les collègues sont là, ils promettent que celui qui s'en va ne sera pas oubliè, qu'ils se reverront, ce n'est pas toujours vrai, on oublie celui qui est parti. En revanche, je connais quelqu'un qui me touche de très près qui mange chaque mardi avec un ancien collègue retraité, lui travaille toujours, mais ils se voient, il appelle ça "le mardi du retraité" il fait son stock d'histoires drôles.

Quelques mots /

Mais avant, vous pouvez rajouter aux robes du cheval : TOURDILLE - AQUILAIN - POMMELE, E - (envoi de MThé)

Dérivés et rajouts de CREPER et CREPIR :

CREPAGE (percage) - CREPELE (e) - CREPELU (e-s) (-percluse-speculer

sepulcre) -  CREPELURE - CREPIER(e) (recrépi -crêperie) -  CREPINE (epincer) - 

CREPITANT(e)

CREPON (poncer) -  CREPURE (perceur)  -  CREPU (e) -   -  DECREPER -

DECREPIR -  RECREPIR -  DECREPIT (e) -  DECREPITER -

RECREPIR - 


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