lundi 23 décembre 2013


 Il existe vraiment?

La tempête souffle, temps à ne pas mettre un chien dehors, il ne devait pas y en avoir ce matin sinon le faisan que j'ai failli écraser ce matin près de chez moi n'aurait pas été si tranquille, visiblement un faisan lâché pour les chasseurs.

Je suis allée chez le médecin pensant être seule, non la salle d'attente était pleine, j'avais mal pour un pauvre homme qui semblait souffrir atrocement du dos, il ne savait pas comment s'asseoir et pensez-vous que les personnes qui étaient avant lui auraient fait le geste de le laisser passer, non, il a fallu qu'il attende, j'étais juste derrière lui, je bouillais en constatant cette indifférence, un monde souvent égoïste. Du coup tout à l'heure chez Leclerc je voulais absolument laisser passer devant moi un monsieur qui n'avait qu'une baguette de pain, il n'a jamais voulu, je lui ai dit "Il semble que vous ne soyez pas pressé" il m'a répondu "Non, je suis au travail." J'ai éclaté de rire en disant "Ah! Je comprends."
Là aussi je m'énerve lorsque je vois des caddies pleins et une personne derrière qui a deux articles, d'un seul coup j'ai l'impression que la cliente au caddie plein a perdu la vue, elle évite soigneusement le regard de celle qui voudrait tellement qu'on la laisse passer. Un petit geste ne coûte pas grand chose, deux minutes perdues et après....

Je suis donc allée chez le médecin et j'ai constaté qu'il avait laissé pousser sa barbe, comme tous les hommes en ce moment, je lui ai dit "Je sens que vous allez rendre mon mari jaloux, il essaie, il essaie..." Il m'a dit " Je vais vous avouer que je ne me sens pas à l'aise, ça ne me plaît pas, je vais la raser." En arrivant à la maison j'allais dire ça à Christian et vlan! il avait aussi rasé ce qui commençait à pousser. Enième essai non transformé.

Demain nous réveillonnerons gentiment, il n'y a plus cette effervescence des années où les enfants étaient petits, on ne devrait plus fêter Noël à partir du moment où les enfants sont grands, nous avons plein d'occasions pour nous voir, je dis ça mais les habitudes sont tellement ancrées, quelle tête ferions-nous si nous restions seuls? C'est tout le paradoxe, nous râlons mais nous fêtons. Même avec nos amis, j'ai toujours beaucoup plus aimé les dîners inattendus, une belle omelette, un plat de spaghettis et les rires, je n'aime pas ce qui est trop préparé, j'ai toujours préféré l'imprévu. J'avoue que si je m'étais mariée avec un homme qui planifie tout, l'entente aurait été difficile.


Poutine au regard froid fait un geste.



Pour moi cette image est vraie, je serais perdue sans internet, trop habituée à pianoter sur mon clavier pour un oui et pour un non.


Un clic.

Les BIRDS, je ne sais pas s'ils vont prendre des vacances pendant ces fêtes.


SCRABBLE :

Pour pratiquer le FITNESS, il eût fallu que les gens FISSENT moins de FESTINS.

C'est un petit conseil, n'abusez pas des bonnes choses.


Encore une fois joyeuses fêtes à tous, nous nous retrouverons.




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