Depuis au moins trois ans je mange ce dessert au chocolat, une vraie addiction, je suis prête à faire des kilomètres pour en acheter si mon magasin est en rupture de stock. Christian s'y est mis aussi, c'est vraiment délicieux. Tous les soirs, je mange le mien et ma petite cuillère ne pouvant pas lécher les bords, je passe mon petit doigt dans le pot et je lèche le doigt, un geste enfantin je sais ; ça me rappelle les moments où ma mère faisait un gâteau, j'attendais avec impatience que le récipient soit vide, à genoux sur une chaise, coudes sur la table, je guettais le moment, je faisais le même geste, c'était bon, vous ne pouvez pas savoir, ou si vous savez, vous l'avez sans doute fait aussi.
Christian rit, alors il laisse toujours un peu de chocolat dans le sien pour que je me régale, mais depuis quelques soirs il en laisse de moins en moins, je lui ai dit "Dis donc tu es de moins en moins généreux" Ce soir, ça allait, il en a même laissé un peu trop, il faut juste la dose.
Katmandou, les médias diffusent en boucle toujours les mêmes images, mais TF1 s'est distingué, c'était un immeuble en Egypte qui s'écroulait pas à Katmandou, les images finissent par se ressembler alors pourquoi pas, mais les téléspectateurs ont l'oeil. Je ne regarde jamais TF1, c'est Augustin Trapenard qui a fait un billet ce matin sur France inter, un billet bien écrit comme toujours, le monde de l'images et attention Claire Chazal aurait dit que les images étaient très dures à supporter....
Une copine scrabbleuse me disait aujourd'hui "En voyant Katmandou, je pensais à vous au Mexique" C'est vrai, le séisme était aussi de 7,6 mais nous sommes là, miraculeusement là. J'ai oublié, j'ai traversé d'autres séismes et je suis toujours là.
Voilà, tout est dit, les petites misères seront passagères, tout ça s'arrangera.
Eux sont prêts à traverser des océans pour vivre et faire vivre une famille, Katmandou a pris le relais aux infos, une catastrophe efface l'autre, ce début d'année 2015 n'est vraiment pas terrible.
Vous connaissez le sens du mot charivari? A l'origine le charivari était un genre de concert tumultueux et discordant que l'on réservait aux mariés dont la différence d'âge était importante. On le donnait plus spécialement lors des remariages des veufs et veuves ou lorsque le marié n'était pas du village. Par la suite, ce genre de mariage s'appela tout simplement charivari. Pour mettre fin au tumulte, les "jeunes" mariés devaient offrir à boire aux trublions.
Je partage ce que je viens d'apprendre..
J'espère que la mariée éduquait bien son mari, comme sur le dessin :
Une petite histoire belge :
Deux routiers belges arrivent, avec leur trente-cinq tonnes, à l’entrée d’un tunnel de montagne devant lequel est planté un grand panneau :
HAUTEUR MAXIMUM : 4 METRES
– Dis-moi, fait le premier, je crois bien que notre camion il fait quatre mètres 10 ! Tu as vu le panneau, on ne va pas passer …– Je vais descendre voir, répond l’autre.
Une minute après il remonte dans la cabine la mine réjouie :
– Tu peux y aller, il n’y a pas de flic !
SCRABBLE :
La partie du simultané me semblait assez facile, sans doute parce que je jouais bien, mais je pense qu'elle était facile. Il ne faut jamais jouer LET ou TEC au pluriel, plusieurs joueuses l'ont appris aujourd'hui à leur dépens.
Il y a 4 mots finissant par FAR
AFAR | - | E adj. D'un peuple d'Afrique orientale. |
CHOFAR | - | n.m. (= schofar) Instrument à vent utilisé dans le rituel israélite. |
FAR | - | n.m. Flan breton. |
SCHOFAR | - | n.m. (= chofar) Instrument à vent utilisé dans le rituel israélite. |
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