Merci à Roland du club de Baud pour son mail, il m'informait avant les infos que le Goncourt des lycéens avait été attribué à Sorj Chalandon pour son livre "Le quatrième mur", le rêve un peu fou d'un metteur en scène qui veut monter Antigone à Beyrouth en pleine guerre du Liban.

 

Je vais me précipiter à la Fnac pour acheter ce bouquin qui a l'air passionnant. Je vous disais il y a quelques jours que je préférais nettement le Goncourt des lycéens au vrai Goncourt. Ce prix a été instauré en 1988 avec la collaboration de la Fnac et du Rectorat de Rennes, je n'ai jamais été déçue par ce prix. Sorj Chalandon était grand reporter, il a longtemps collaboré à Libération et écrit des chroniques pour le Canard enchaîné. Roland me disait que je devrais lire ses précédents bouquins qui sont aussi captivants. Ce sera fait, j'arrive au bout de ma petite pile de livres que j'avais en réserve.

Christian avait gagné à La Rochelle "Une histoire du monde antique", il peut se lire par fragments, je le regarde de temps en temps, l'histoire est un éternel recommencement, nous retrouvons les mêmes événements dans notre monde moderne, les guerres, les révolutions, les monarchies renversées, la République qui s'épuise etc...

Ce matin je fais grève, je n'écoute pas la radio et pas certain que j'écouterai la télé, ou juste les émissions rigolotes, les documentaires. Pas d'infos, ça me déprime, tous les soirs je suis accablée par l'acharnement des journalistes à délivrer des mauvaises nouvelles, ils sèment la "sinistrose", les bonnes nouvelles ne font pas d'audience, encore plus hier soir lorsque j'ai lu que TF1 avait manipulé le son des huées du 11 novembre, vous pouvez lire l'article sous ce lien. Je savais qu'on ne pouvait pas faire confiance à cette chaîne privée que je ne regarde JAMAIS, mais là c'est vraiment trop, j'admets qu'un journaliste dise la vérité même si ça ne fait pas plaisir, je suis très conciliante, je ne pourrais pas me disputer avec une amie pour ses choix politiques même si je ne comprends pas, la liberté d'expression existe, je veux qu'on me respecte alors je respecte l'autre, mais la manipulation non, comme dit un copain "Vive la manipulation, par ceux-là même qui jadis raillaient les méthodes soviétiques." Il a raison. TF1 peut faire profil bas.
J'aime bien l'émission sur la 3 à midi avec Laurent Romejko "Météo à la carte." un peu de "tout le monde veut prendre sa place" un peu de Romejko, cet animateur ne vieillit pas, il a pourtant 51 ans.

Ce matin je pensais à l'amitié, oui je pense lorsque ma pintade est en train de cuire, aux amis et amies de toute une vie, les amies d'enfance qui ne nous quittent jamais même si nous les voyons une fois tous les dix ou douze ans, j'en ai une comme ça, aux amis de jeunesse, les plus fidèles, ceux avec qui nous pouvons reprendre une conversation comme si nous nous étions vus la veille alors que notre dernière rencontre date de plusieurs mois, et à ceux et celles qui sont des amis mais avec qui nous n'avons pas partagé les moments cruciaux de notre vie, on sait qu'ils sont là mais les liens ne sont pas les mêmes, il est difficile de dire "Tu te rappelles lorsque nous nous retrouvions devant l'école en attendant nos enfants, c'est là que nous avons fait connaissance il y a 45 ans." C'était mon petit moment de nostalgie !

En parlant d'école, les rythme scolaires, ça inspire les dessinateurs. Là encore personne est d'accord, étonnant non?

La pénalisation de la prostitution. Pauvres joueurs de foot qui devront s'acquitter d'un impôt de plus.

Les Birds.

UN CLIC

SCRABBLE :

Samedi après midi nous allons jouer un simultané handicap, je n'ai toujours pas cherché à comprendre ce simultané, je joue point barre, deux parties. C'est à Sarzeau.

Prise sur Facebook scrabble, la liste complète des noms féminins en IES, ils n'admettent que le pluriel :

ADONIES, ARMOIRIES, BRAIES (mais BRAIRE et BRAYER), COMPLIES, DIONYSIES

 EIGHTIES, EPINICIES, FERALIES, FIFTIES, FLORALIES, GEMONIES, LEMURIES

 LOCHIES, NENIES, NINETIES, ROYALTIES, SEVENTIES, SIXTIES, VESTALIES.

J'espère qu'il n'y a pas d'erreur.