jeudi 24 février 2011

Il faisait très doux aujourd'hui, un temps à jardiner, un peu, j'ai décidé de tailler quelques branches pour dégager les hortensias qui commençaient à être enfouis. Christian m'a rejoint, il n'avait pas trop envie, mais il est futé, au bout d'un moment il m'a dit "Allez, mon lapineau, arrête, tu vas te fatiguer"', voilà pourquoi j'ai joué "lapineau" à Biarritz, ça me disait quelque chose, si je m'arrête de bosser, il s'arrête aussi et c'est ce qui est arrivé. Pour le "lapineau", pure invention, il ne m'a jamais dit ça, peut être bibiche, enfin je n'en sais rien.
Il ne perd rien pour attendre, le jardin aura sa visite. C'est vrai, le sol est bien détrempé, on ne peut pas faire grand chose. Plus on vieillit plus la terre est basse.



Dans une lointaine gazette, je vous avais dit que nous étions allés écouter chanter Jordi Barre, ce catalan natif d'Argelès-sur-Mer, un monsieur de 88 ans qui chantait merveilleusement bien en catalan, nous avions passé deux soirées inoubliables, en surfant je viens de découvrir qu'il est parti à 90 ans, un bel âge, mais je l'ai encore écouté et j'ai de nouveau été bouleversée, je vous le fait écouter, cliquez sur ce lien.


TROIS MOTS :

CHENIT ou CHENI :  Désordre. D'où l'expression "Une chatte ne retrouverait pas ses petits dans un tel CHENIT"
C'est suisse.

CHOTTE : En Suisse, arbre isolé au milieu d'un champ pour se mettre à l'abri lorsqu'il pleut.

MOLLACHU : Sans énergie. "Ce matin, je me sens tout mollachu".

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