samedi 25 janvier 2014

J'aime le soleil qui brille ce matin, qui caresse les meubles, s'infiltre dans les coussins du canapé.
J'aime l'idée que tout à l'heure nous serons chez ma fille, Caroline sera là, pas son amoureux le pompier de Paris, il est de garde pour le week-end, alors nous la verrons taper des SMS sans arrêt, je vais lui dire comme d'habitude "Il est peut être en train de ranimer une blonde, ne le dérange pas." elle haussera les épaules, tout le monde la taquine. Caroline a mon caractère, je me reconnais, elle est tenace jusqu'à ce que l'autre cède, son père avait raison lorsqu'il m'a dit à sa naissance, le 10 novembre même jour que moi "Nous avions un scorpion, il faudra en supporter deux." 
Mais Caroline se transformera au fil du temps, elle deviendra beaucoup plus conciliante parce que justement le temps nous apprend que nous ne pouvons pas tout avoir, la vie se charge de nous changer et c'est tellement plus reposant d'être sereine, d'abandonner la provocation, l'insolence, de prendre de la distance avec toutes les choses de la vie qui n'en valent pas la peine, mais pour ça l'expérience des autres ne sert à rien, il faut apprendre.

J'aime lire tous les jours le blog d'une maman, j'ai l'impression d'être dans "La petite maison dans la prairie" en beaucoup plus moderne, il y a de jolies photos et cette maman écrit très bien. Vous pouvez lire en suivant ce lien.  Je ne sais pas si ses enfants se rendent compte de la chance incroyable qu'ils ont de vivre à la campagne une enfance protégée.

J'aime le livre de Philippe Besson que je suis en train de finir, une tragédie familiale à quatre.
Il me fait un peu penser à "Bonjour tristesse" de Sagan, un tout petit peu.
Hier je n'ai pas pu résister à l'achat du livre de Maylis de Kerangal "Sauver les vivants.", Elice Lucet disait aux infos que c'était le livre le plus touchant de la rentrée. 

Je vais aimer ce dimanche où nous jouerons la phase 3 à Douarnenez, il y a longtemps que nous n'avons pas vu cette petite ville. Lorsque nous habitions à Quimper nous nous promenions souvent à Treboul. J'espère que mes douleurs se feront oublier, mon genou est toujours emmailloté mais il est moins enflé, le ligament s'est sans doute remis à sa place, ce truc là est vraiment idiot, le pied posé d'une certaine façon, le corps qui se tourne et une douleur fulgurante, le mouvement qu'il ne fallait pas faire. C'est sûr, mon genou est beaucoup moins intéressant que celui de Falcao le joueur de foot, drame national en Colombie, qui s'intéresse au genou d'une joueuse de scrabble?

Ce matin j'ai aimé le fou-rire au petit déjeuner lorsque j'ai dit à Christian qu'un oeuf dur se faisait cuire en 3 minutes et qu'il a répondu "C'est parfait pour le pique-nique, ça doit être amusant." Non c'est en 8 minutes, je me suis trompée.

J'aime voir que ce blog est de plus en plus fréquenté, le site aussi de plus en plus, 170 visiteurs avant hier. Vous avez aussi les premiers carnets de JLuc Le Toquin qui ont été mis à jour, évidemment les nouveaux sont toujours en ligne. Vous pouvez aussi depuis quelques jours imprimer les parties que nous mettons, ceci à la demande de certains joueurs.

J'aime moins les nuages qui sont en train de se former et qui cache le soleil..

J'aime aussi le grand éclat de rire qui a suivi la lecture de cette petite histoire :

Le bal costumé

Samedi soir Ginette est allée à un bal costumé. Le lundi matin au bureau, sa copine s’empresse de lui demander :
- Alors c’était bien cette soirée ?
- Oh, c’était super! j’ai dansé avec un mec génial qui était déguisé en Adam !
- En Adam ? et alors ?
- Eh bien, maintenant, je sais ce que ça veut dire « Etre dur de la feuille » !

Je précise ce n'est pas la Ginette que je connais qui était au bal !





Les Birds, nouvelle formule.


SCRABBLE :

J'ai vu ce mot sur ISC -  ETHYNE, c'est de l'acétylène et nous pouvons former SYNTHESE avec ethynes + S.

Anagrammes :

OCTUORS = TORCOUS (ou torcols)

INDURAT = NUITARD.




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