dimanche 5 janvier 2014

Nous sommes bien installés dans la nouvelle année, 2014 est en marche, de toutes les façons il faut avancer nous n'avons pas le choix. La destination finale sera le 31 décembre 2014, nous ferons des bilans. Je pense juste aux millions de gens qui aimeraient bien être dans le même train que nous, même si tout ne va pas très bien, nous restons des nantis aux yeux des affamés. Ce n'est pas de penser ça qui peut nous rendre heureux, j'espère que non, mais si nous pouvions entendre des bonnes nouvelles quelquefois à la radio et à la télé en 2014 ça pourrait nous rendre heureux. Il y a toujours de la joie à grappiller quelque part. Que le "Dieu" des médias m'entendent et ça me réconciliera avec eux.

Hier il était 13h et je regardais sur internet où se jouait le dernier film de Martin Scorsese
"Le loup de Wall Street" avec Léonardo Di Caprio. En deux minutes nous étions prêts pour aller le voir à Vannes, la séance commençait à 13h45, nous n'avons pas besoin de réfléchir trop longtemps pour nous décider, nous ne changeons pas, il nous arrivait de faire des valises en dix minutes lorsque les enfants étaient petits et d'aller voir mes beaux-parents ou mes parents dans le midi pour un grand week-end, sur un coup de tête. Là c'était moins loin.
Il pleuvait des cordes, un bon moyen de passer un moment à l'extérieur de la maison :  le cinéma.
Nous aurions dû réfléchir davantage, enfin un peu, un film qui dure trois heures mais qui aurait pu durer deux heures avec des coupes dans le montage, des scènes qui ne servent à rien dans le déroulement de l'histoire, je ne suis pas prude mais là ça frise presque la pornographie quelquefois, du c...dans tous le sens, de la drogue sous toutes ses formes à gogo, de l'argent facilement gagné qui est jeté par les fenêtres, je ne sais pas où est la vérité dans le déroulement de la vie à Wall Street, ce n'est pas notre monde, mais si ça se passe comme décrit dans le film m'étonne pas que le monde de la finance soit dévoyé à ce point. Le monde continuera à mal tourner. Ce film est complètement immoral.
Point plus que positif le jeu de Léonardo Di Caprio, il porte complètement le film, un numéro d'acteur extraordinaire, il y a très peu de plans sans qu'il apparaisse. Une mise en scène bien maîtrisée ne fait pas forcément un bon film, il faut aussi une belle histoire.
Quant à Jean Dujardin, il est allé faire quoi dans ce film? Jouer avec les plus grands, il a tort. De la figuration à la fin du film, fade, vraiment sans saveur. C'est un acteur typiquement français, le cinéma américain n'est pas pour lui, c'est mon avis.
Le dernier film de Scorsese que nous avions vu est "Les infiltrés" avec le même Di Caprio et Matt Damon, j'avais aimé. Nous avons le DVD.

Isabelle ma copine de scrabble, fan de cinéma, m'a dit qu'il y avait un film délicieux à voir, tendre, émouvant, un film indien "The lunchbox" Elle me disait que les gens applaudissaient à la fin du film, chose rare au cinéma. Hélas! Il ne passe pas à Vannes, je viens de regarder.


Pour vous faire rire cette petite image, c'est vrai elles feront comment?


Le divorce. Je ne sais pas trop quoi en penser, nous n'avons jamais été confrontés à ça dans la famille, j'y suis, j'y reste....


Les Birds, les anciens Birds ! Aucune morale.

Une petite histoire pleine de morale, elle.... Il n'a pas eu besoin de Wall Street pour réussir.

L’ e-mail
Un chômeur postule pour un poste d’homme de ménage chez Microsoft.
Le DRH lui fait passer un entretien, puis un test (balayer le sol), et lui dit:
- Vous êtes engagé; donnez-moi votre e-mail et je vous enverrai le formulaire à remplir, ainsi que la date et l’heure auxquelles vous devrez vous présenter pour commencer votre travail.

L’homme, désespéré, répond qu’il ne possède pas d’ordinateur, et encore moins d’e-mail. Le DRH lui dit alors qu’il est désolé, mais que s’il n’a pas d’e-mail, cela signifie que virtuellement il n’existe pas, et, comme il n’existe pas, il ne peut avoir le job.
L’homme sort, sans savoir que faire. Il a seulement 10 dollars en poche. Alors il décide d’aller au supermarché et achète une caisse de 5 kilos de tomates. Il fait donc du porte à porte pour vendre ses tomates au kilo, et, en moins de deux heures, réussit à doubler son capital. Il répète l’opération encore trois fois et revient chez lui avec 60 dollars.
Alors, il réalise qu’il peut survivre de cette manière, il part de chez lui tous les jours plus tôt et revient chez lui plus tard, et ainsi triple ou quadruple son argent chaque jour.
Peu de temps après, il achète une charrette, puis l’échange pour un camion et peu de temps après se retrouve avec une petite flotte de véhicules de livraison.
Passent 5 ans, l’homme est propriétaire d’un des plus grands distributeurs alimentaire des États Unis.
Il pense alors au futur de sa famille, et décide de prendre une assurance vie. Il appelle un assureur, choisit un plan d’assurance et quand la conversation se termine, l’assureur lui demande son e-mail pour lui envoyer la proposition.
L’homme dit alors qu’il n’a pas d’e-mail.
- Curieux, lui dit l’assureur, vous n’avez pas d’e-mail et vous êtes arrivé à construire cet empire, imaginez ce que vous seriez si vous aviez un e-mail !!!
L’homme réfléchit et répond:
- Je serais homme de ménage chez Microsoft.

SCRABBLE :

Anagrammes :

NATURES - SATURNE - SAURENT -

Ce n'est pas toujours facile de former un scrabble en commençant par le S.

J'ai vu OCTETTE, orchestre de jazz de huit musiciens.



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