jeudi 17 juillet 2014


Je mets cette bande annonce partout aujourd'hui, elle me va bien, j'ai l'humeur joyeuse, je me suis bien reposée. Hier, j'étais fatiguée, comme toujours ces petits coups de pompe qui me tombent dessus et qui s'évanouissent. J'ai fermé l'ordi tellement tôt que Christian s'est étonné "Tiens, tu descends déjà". 
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Il fait beau, très beau même chaud. Je vais choisir mon endroit à l'ombre pour passer l'après-midi et lire, j'adore ce bouquin que je ne vais pas tarder à finir "Le principe de Pauline". Les enfants du voisin vont certainement faire du bruit dans leur petite piscine gonflable mais ça ne me dérange pas, c'est la vie et cela fait affluer des souvenirs avec nos petits-enfants, ils étaient aussi très bruyants. Nous avions fait la bêtise d'acheter une piscine à monter, quelle galère pour l'entretenir lorsqu'ils n'étaient pas chez nous, et finalement ils se sont très vite lassés, il paraît qu'elle n'était pas assez grande pour eux, c'était sans doute vrai. Jamais plus, je ne vais pas avoir du mal à tenir ma promesse, ils sont tous grands.

 Nous étions allés à Plouharnel pour la partie club, vous pourrez la rejouer sur le site, partie explosive, Christian ne l'a pas encore mise dans les parties à rejouer, il est en train de tondre !
Nous avons fait les courses en rentrant, j'en ai assez de poser la question "On mange quoi ?" et la réponse arrive "Ce que tu veux"  "Oui mais toi tu veux quoi ?" Moi, je sais qu'une tomate coupée en deux avec un oeuf dur me suffiront par cette chaleur, mais lui....La liste de ce que Christian aime raccourcit de jour en jour, vous me verriez errer dans l'hyper à la recherche d'une idée...Je dis "Tu n'aimes pas le poisson" il répond "Mais tu racontes n'importe quoi, j'adore le homard".

J'ai regardé "Des racines et des ailes", splendide, j'ai toujours envie d'aller visiter des régions après cette émission mais là nous connaissions pas mal d'endroits dans les Pyrénées. En voyant le château de Monségur j'ai dit "Nous avions monté cette côte à pied ? Incroyable" Un paysage à couper le souffle, nous avions juste quelques années de moins mais pas tant que ça, cinq ou six ans. En redescendant nous étions allés au resto du village, j'avais mangé plein de graines qui étaient dans les plats, ce n'était pas terrible comme cuisine et Christian n'arrêtait pas de faire "Pouic, pouic" en me regardant manger, j'avais l'impression d'être un oiseau. Lui comme toujours avait dû prendre un beaf-frites, les frites, le fruit défendu, il ne se hasarde jamais sur des terres inconnues au restaurant, à la maison pas de risques, je connais ses goûts, et pourtant aujourd'hui j'ai fait un rôti de veau, je sais qu'il n'apprécie pas le veau mais moi c'est une des rares viandes que je mange, de temps en temps je fais de la résistance dans ma cuisine.



Je regardais cette image et je pensais qu'il ne fallait pas que j'oublie d'amener l'ordonnance de mon oncologue chez mon médecin traitant, je n'arrive pas à déchiffrer ce qu'il a écrit, je dois faire quoi pour le prochain contrôle ? Illisible, seul un autre médecin pourra traduire. J'écris aussi très mal, au lycée ma prof de français me disait "MClaire tu devrais être médecin". Je ne suis pas médecin hélas! mais j'écris toujours aussi mal. L'ordi m'a sauvée.


Une petite histoire :

Oral de biologie 


- Mademoiselle Dupont, quel est l’organe du corps humain qui, dans certaines conditions, peut multiplier sa taille par six ?
Rouge de confusion et furieuse, la jeune Lucie répond :
- Madame, je ne crois pas que ce soit la question la plus appropriée à poser à une jeune fille… Croyez-moi, mes parents vont en entendre parler.

L’élève regagne sa place et la prof se retourne vers une autre élève qui répond immédiatement :
- C’est la pupille de l’œil dans la lumière…

- Très bien Bernadette ! répond la prof, avant d’ajouter… Quant à vous Lucie, laissez-moi vous dire trois choses : d’abord vous n’avez pas appris votre leçon. Ensuite, vous avez l’esprit mal tourné. Et enfin, préparez-vous à la plus grande désillusion de votre vie.

Les Birds, pas toujours très polis :




Ils vont certainement partir en vacances, mais nous retrouverons ces pipelettes sur leur fil.




Scrabble :

Je viens d'apprendre que Michel Pialat est parti, gravement malade depuis plusieurs années, la dernière fois que nous l'avons vu c'était à Vichy il y a deux ans je crois, il avait tenu à faire un petit discours. Il a tellement servi le scrabble, il était passionné, c'était un personnage.
Son 7+1 était la bible du scrabbleur avant les ordis.
Je me souviens d'une anecdote, lorsque La Baule organisait encore son tournoi nous l'avions transporté de son hôtel au lieu de jeu, il avait piqué une mini colère contre l'hôtel dans la voiture, les douches étaient décidément trop exiguës, il avait raison. Michel n'a jamais eu la langue dans sa poche. Au revoir Monsieur Pialat.

Hier, j'ai eu un zéro mais il y avait un scrabble qui se terminait par ATO, j'ai révisé les mots qui se terminent en ATO, même les plus longs qui vont s'évaporer de ma mémoire aussitôt appris


AGITATO ANIMATO APPASSIONATO DERMATO LEGATO MERCATO MODERATO 

OSTINATO PIZZICATO RHUMATO RUBATO SCATO SFUMATO SPICCATO STACCATO

 STOMATO VIBRATO 

Deux sont invariables : ANIMATO et SPICCATO -  STACCATO a comme anagrammes 

TOCCATAS et ACCOSTAT.


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