Je crains que vous ne chantiez plus dirladada, ni la danse des canards, vous ferez ça :
et pas à 10h du matin mais à 6h, debout et au chi gong, non mais !
Nous sommes allés au club avec les enfants, une fois à Donoratico en Toscane et une autre fois près de Tanger, j'avais bien aimé, nous étions vraiment en vacances, les enfants étaient occupés, nous aussi... Nous y allions en voiture, cela nous permettait de faire du tourisme et de ne pas rester cloîtrés dans le club, nous nous évadions.
Le problème n'est pas de céder aux chinois un des emblèmes des loisirs, mais de se poser la question, pourquoi est-ce que nous ne savons pas garder nos fonds de commerce?
J'ai deux souvenirs, du poisson qui ne devait pas être très frais mangé à Donoratico, nous avions des cases, c'était marrant mais là toute la nuit les vacanciers se croisaient dans les allées en se tenant le ventre "Vous aussi?" "Oui, moi aussi" un moment plus tard "Encore vous" "Oui, encore moi", j'en avais assez que notre voisin me reconnaisse dans cette situation, je perdais toute ma dignité, le lendemain tout est rentré dans l'ordre et je faisais semblant de ne pas le voir derrière mes lunettes de soleil. Christian ne raffole pas du poisson, il s'en est bien sorti.
A Tanger, c'est la leçon de voile, enfin nous avions pris une leçon et le moniteur pensant que nous nous débrouillions très bien nous avait confié un 420, ce petit voilier léger mais qui va vite, il y avait un mur au bout de la plage, en arrivant Christian m'a fait sauter avec un cordage pour arrêter le bateau, j'ai sauté mais je n'avais pas pied, glou-glou, je sais nager mais là c'était surprise-surprise, le bateau me traînait et heureusement s'est arrêté au pied du mur. Pas de casse, mais cela n'allait pas me réconcilier avec les bateaux, je suis sortie de l'eau comme une furie, ce n'était pas Ursula Andress dans James Bond, on s'en souviendra longtemps pas d'Ursula mais de moi sortant de l'eau, j'avais une nouvelle fois perdu ma dignité.
Bon, je vais avoir de la lecture, j'ai acheté un livre 1.100 pages, au pif, jamais rien lu de cette auteure, je suis certaine qu'il est passionnant, je le sens :
"Le chardonneret" de Donna Tartt.
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas.
Qu'est-ce qu'il me plaît ce pape, il est de mon avis.
Une petite histoire mignonne, j'ai fait un copier-coller :
SCRABBLE :
Deux mots cousins : FAUCHON, un petit râteau + i CHAFOUIN et FANCHON c'est un foulard.
Sur ISC FETES était posé, je cherchais des benjamins, j'avais PREFETES mais complètement oublié SUFFETES, une chance il n'est pas sorti, enfin chance n'est pas le mot, sur ISC rien n'est grave, c'est juste un entraînement, je joue, je regarde la télé, je dis un truc à Christian qui ne me répond pas, il dort ou fait "Ouais, ouais" parce que je l'ai réveillé. Il aime bien que je joue en haut dans la mezzanine, il évite les coups de coude dans les cotes pour le réveiller, il paraît que c'est son meilleur sommeil. Il ne doit pas être le seul
Je m'égare, revenons au scrabble
Anagrammes : ECHARS et ECHARSE = ARCHEES -
CRASHEE - ECHERAS - ESCHARE - ESCHERA .
SECHERA -
ESCHARE s'écrit aussi ESCARRE et ESQUARRE
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